*+:: Parfaits Étrangers ::+*
Je cherchais désespérément la joie,
Tel un oiseau qui cherche sa proie,
Je l’avais finalement trouvé dans tes bras,
Mais pas à pas, tu t’es distancé de moi.
Tout cela est maintenant du passé,
Deux ans ont réellement filé,
Pourtant, le temps n’efface pas tout,
Nos merveilleurx souvenirs ne sont point flous.
Je te vois à tous les jours,
Torturant par mon coeur qui brûle d’amour,
Je cherche sans vain à te parler,
Supportant la crainte de t’agacer.
Tu peux toujours le nier,
Mais peu importe ce que je te dis, tu ne m’écoutes qu’à moitié,
À chaque fois, tu prétends savourer ta musique,
Et tu remets tes écouteurs d’un geste robotique.
Je ne peux imaginer pire,
Je n’ai plus rien à te dire,
Nous sommes maintenant de parfaits étrangers,
Côte à côte, dans cet autobus bondé.
Je cherchais désespérément la joie,
Tel un oiseau qui cherche sa proie,
Je l’avais finalement trouvé dans tes bras,
Mais pas à pas, tu t’es distancé de moi.
Tout cela est maintenant du passé,
Deux ans ont réellement filé,
Pourtant, le temps n’efface pas tout,
Nos merveilleurx souvenirs ne sont point flous.
Je te vois à tous les jours,
Torturant par mon coeur qui brûle d’amour,
Je cherche sans vain à te parler,
Supportant la crainte de t’agacer.
Tu peux toujours le nier,
Mais peu importe ce que je te dis, tu ne m’écoutes qu’à moitié,
À chaque fois, tu prétends savourer ta musique,
Et tu remets tes écouteurs d’un geste robotique.
Je ne peux imaginer pire,
Je n’ai plus rien à te dire,
Nous sommes maintenant de parfaits étrangers,
Côte à côte, dans cet autobus bondé.